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Comment penser l'ergonomie d'une solution pour la rendre accessible à tous ?

Le Big Data envahit autant les discours que les systèmes d’information des entreprises.


Maitriser ses données pour les exploiter, en un mot s’en servir, devrait être à la portée de tous, mais il n’en est rien.

Dès lors, comment penser l’ergonomie d’une solution pour qu’elle tienne cette promesse ?

Eléments de réponse de Guilhem Malichier, développeur chez Tale of Data.


Extraire, déplacer et transformer les données pour répondre aux contraintes opérationnelles n’est pas un besoin nouveau.

Les solutions d’ETL (Extract Transform Load) existent depuis bien longtemps pour y répondre, mais elles s’adressent à des utilisateurs avertis, qui savent coder ou, à tout le moins, possèdent un bagage technique.

La solution de Tale of Data est née de ce constat et du souhait que chacun puisse maitriser directement ses données pour les exploiter dans son métier. « Rien de plus compliqué que de rendre les choses simples » annonce d’emblée Guilhem Malichier.

Les données sont la propriété de toute l’entreprise, pas seulement des directions informatiques. Les utilisateurs devraient pouvoir y accéder en toute simplicité, sans compromettre la sécurité et la confidentialité. Mais pour cela, il est nécessaire de leur fournir des outils qu’ils seront capables de prendre en main, sans avoir à suivre (voire subir) de longues, coûteuses et fastidieuses formations.

2 caractéristiques participent de cette ergonomie : - L’accessibilité - La découvrabilité

L’accessibilité

C‘est ce qui fait qu’un logiciel va pouvoir être employé par le plus de gens possible.

La plateforme Tale of Data se présente sous la forme d’une application Web, utilisable dans un navigateur, et ne requiert donc aucune intervention sur le poste de travail pour être installée. Dès que leur compte est activé, les utilisateurs métiers peuvent se connecter aux bases ou entrepôts de données de leur entreprise, les explorer, et commencer à les transformer pour les exploiter. La prise en main de la solution ne nécessite quasiment pas de formation. « La courbe d’apprentissage est douce, une journée suffit pour comprendre comment utiliser 80% des fonctionnalités » précise Guilhem Malichier. Et aucun code n’est nécessaire : la plupart des manipulations, y compris les plus puissantes, peuvent se faire à la souris.

La découvrabilité

Un utilisateur qui a un besoin particulier doit pouvoir trouver lui-même les outils, les fonctions qui l’aideront. Mais c’est encore mieux s’il peut le faire sans parcourir des dizaines de pages de documentation ni naviguer dans des menus sans fin. Tale of Data prête une attention particulière aux fonctionnalités de recherche intégrées à

l’application : on peut notamment rechercher des fonctions de transformation en langage naturel, sans avoir à connaître de jargon technique.


La solution propose également des suggestions et des paramètres par défaut intelligents, afin d’accélérer et d’alléger le cheminement des utilisateurs vers les résultats attendus. Dès l’ouverture d’un fichier, par exemple, les types de données sont automatiquement détectés, et les éventuelles erreurs de saisie sont mises en exergue, avec des suggestions pertinentes pour les corriger. « Beaucoup d’étapes qui demanderaient habituellement une configuration manuelle vont se faire automatiquement, pour encourager l’utilisateur à avancer : souvent il n’aura qu’à valider le résultat d’un coup d’œil » indique Guilhem Malichier. Une autre fonctionnalité qui fait l’unicité de la solution Tale of Data est le « Mass Data Discovery ». Comme son nom l’indique cette fonction de recherche permet à l’utilisateur métier d’identifier, parmi le volume parfois énorme de données auquel il a accès, celles susceptibles de l’intéresser. Ce scan massif des données, quelles qu’elles soient, où qu’elles soient et quel qu’en soit le format, s’effectue à la demande et permet d’obtenir une cartographie exhaustive des données pour en faciliter l’organisation et l’utilisation, en respectant les contraintes de sécurité et de confidentialité.

« Les fonctionnalités n’ont pas à être compliquées pour être puissantes » conclut Guilhem Malichier.


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